La foret des elfes.

Me revoici pour continuer de comter mes aventures, cela fait un bout de temps que je ne le pas fais, donc les revoila. J'espere que tout le monde va bien et que vous vous dites: "oh non il va encore nous emmerder avec ces histoires" haha^^.

Me voici donc face a cette immense foret, dont rien au monde connu ne peut egaler sa beauté et sa grandeur. C'est elle qui vaporise en air les mondes d'en bas, elle qui donne vie a nos pommiers, nos chênes et nos cerisiers, elle qui abrite l'une des plus noble et plus ancienne race d'elfes et son Dieu: Sylvain. Et moi, minuscule par rapport a cela qui avancait au hasard a travers les immenses arbres, sur un chemin parfaitement eclairé par leurs lumieres. L'air m'éttoufait de plus en plus, chargé de magie et de force. Mes yeux et mes sens s'embrumait petit a petit au fur et a mesure que j'avancais, c'etait agreable, cette sensation d'inspirer une infime partie des pouvoirs de cette foret qui entrait en moi si facilement que je ne peut rien y faire. J'avancais confiant, le sabre rengainé, cette foret qui m'entourait ne pouvait etre mauvaise, c'etait celle du grand dieu de la foret. Rien ne bougeait, que du vent, le bruits des feuilles, celui de mes pas qui foulait un tel sol, seul cette poudre, semblable aux larmes, toujour loins autour de moi, qui semble m'observer, epier le moindre de mes pas, de mes gestes, de mes clignements d'oeil. Qui semble inoxerablement, m'attirer plus loin. Au loin, d'un seul coup, je voit une silhouette etrange qui court, qui me fuit, sans interompre le silence elle avance sur ce sol et disparait derriere la foret. Je continuais a marcher, mes jambes ralenties pas cet atmoshère, je n'ai meme pas essayé de courrir pour la rattraper, mes pas me guidait, je n'ai pas essayé de mieux voir, le lumiere de ces arbres finirai bien par m'eclairer. Cependant, l'atmoshère a changé, le vent souffle plus fort, des silhouettes animales apparaissent au loin, et quelques arbres autours commencent a trembler, le bruits des feuilles apparait petit a petit, comme celui du vent, celui de mes pas, celui du choc de mon fourreau contre ma jambe. Je voyais toujour mal, je marchais toujours mal, je n'en entendai pas mieux mais ces sons ne trahissent pas, meme pour moi qui avait les oreilles embrumées. Puis d'un seul coup, face, dans le noir, a la flamme geante qui m'anime, je ne voit plus rien. J'etait la au milieu des arbres, evanouï comme l'avais certainement voulu Sylvain, les yeux grands embrumé au maximum, mes membres immobilisé a leurs extremes limites, tout mes sens disparaissaient. Pendant que j'etait evanouï dans cette foret, moi qui n'en voyait plus rien, je me soignait devant l'immense flamme qui m'anime a la contempler, oubliant cette foret, cette magie, cette force, ce mystere, mon épée, et mes voyages, j'etait seul, sans emmotions ni sentiments, comme un objet; je me faisait reparer.

Si vous aviez eu la patience de me lire je vous remerci, et ceux qui ne l'ont pas eu bah je les remerci quand meme (apres tout c'est bien normal de pas vouloir me lire, haha)
A bientot et continuez a tous vivre vos vies comme vous le sentez.

"Rien ne nous plait que les combat, mais non pas la victoire."  Pascal